Trouver un emploi qualifié ne peut plus être un « du » lié à tel ou tel diplôme !

Trouver un emploi ne correspond plus à l’action de « répondre à une annonce » !

Trouver un emploi est devenu une « recherche dynamique créatrice de nouvelles richesses », pour soi-même et pour l’entreprise que l’on aura judicieusement choisie.

Pour trouver un emploi, mieux vaut donc cibler des champs d’action plus ou moins  vierges, chargés en potentiels à fortes créations de valeurs.

En cette période de crise économique conduisant à l’augmentation du chômage par la perte de nombreux emplois, pour les recruteurs / décideurs, « un emploi ne peut être que la contrepartie d’une création de valeur rentable».

Certes les besoins de compétences conduisent les entreprises à émettre des propositions de postes sous la forme de « petites annonces » (comme si le problème était petit !). On écrit, on téléphone, on fait des mailings standards trop souvent « bateaux »… on attend en vain des réponses…, et dans le meilleur des cas (d’une convocation reçue), on se munit de son CV et de sa lettre de  motivation (généralement « bateau » elle aussi en l’absence de réelle formation), pour se présenter à l’adresse indiquée.

Une toute autre manière de trouver un emploi, consiste à identifier un secteur puis une entreprise risquant de nous motiver, d’y identifier des potentiels de création de valeur et de challenger l’ambition de les exploiter pour le compte de l’employeur. La mission obtenue se traduira souvent par un emploi convenant aux deux parties dans un contexte de motivations partagées.

Il faut donc rechercher à rencontrer des  Dirigeants de PME/PMI qui en tant que Techniciens de métier,  très entreprenants, mais ne sachant pas forcément explorer toutes les potentialités de leur projet, n’optimisent pas forcément son développement par du Management stratégique, du contrôle financier ou une bonne gestion des Ressources humaines : la création de valeurs significatives justifiera à leurs yeux la création d’un emploi adapté à la situation et donc celle d’un nouveau salaire.

Si les dirigeants sont en général peu disponibles pour des entretiens d’embauche classiques,  ils sont par contre souvent sensibles à l’intérêt réel (avec partage de valeurs conditionnant la pérennité des motivations), que vous portez à leur entreprise : leur parler d’eux et de leur entreprise, en vous oubliant un peu, est une bonne manière d’arriver à ce qu’ils s’intéressent à vous !

Plutôt donc que de s’acharner à décrocher le RV miracle, les meilleurs moyens de les rencontrer restent les approches fortuites (réunions, conférences, rencontres associatives, clubs, salons professionnels etc) qui sont autant d’occasions de sympathiser, d’établir de la confiance, de s’intéresser à l’autre et à son entreprise pour lui proposer des idées ; puis le moment venu vos services.

Mais pour qu’une telle démarche réussisse, en plus d’une attitude assez promouvante, des compétences transversales et diversifiées sortant du champ des aptitudes purement cognitives (relevant des cursus universitaires ou privés traditionnels en Economie et Management), sont indispensables ; car créer de la valeur nécessite une approche systémique.

De plus, vous mettre au service du « développement de l’entreprise » en voulant exploiter leurs potentiels talents et non la mettre au service de votre propre « développement professionnel », est un positionnement très valorisant aux yeux des dirigeants.

NB : cette démarche proactive s’avèrera un réel avantage, d’autant plus majeur pour ceux de la génération Z ayant appris à se connaître (cf. profil personnel DISC Arc-en-Ciel débriefé chez un certifié AEC), car le lot commun des 75% de chômeurs porteurs de Masters en Management ou en Gestion n’en possèdent malheureusement pas toujours les atouts ; faute d’une éducation à l’effort, à la créativité et aux responsabilités, puis d’une formation cognitive et humaine équilibrée (donc d’un « chemin de vie » particulier) ayant contribué à un développement personnel favorisant ce type de personnalité.