L’intelligence émotionnelle est un concept remontant à la deuxième moitié du siècle dernier.
Auparavant les émotions étaient moins prises en compte et seul le quotient intellectuel donnait une idée chiffrée sur l’intelligence d’une personne.
Pour clarifier (en rappel de ma précédente publication) : au moins 4 compétences sont indispensables pour développer notre intelligence émotionnelle :
– Identifier nos émotions du moment,
– Maîtriser les émotions que nous vivons,
– Reconnaître les émotions de nos interlocuteurs
– Interagir en considérant les deux sources d’émotions présentes.
Mais avec les progrès des Neuro sciences, l’intelligence émotionnelle et son évaluation par le quotient émotionnel ne suffissent plus à conscientiser et à s’entrainer pour mieux interagir.
Déjà une meilleure détection et reconnaissance possible des comportements et des émotions fut et reste largement permise par des méthodes comportementalistes informatisées, basées sur le DISC de Marston enrichi ou non par les travaux de Carl Jung selon les méthodes (cf. pour ex : la formation certifiante Arc En Ciel DISC proposée au Maroc par Arc-en-Ciel RH Maghreb).
Il s’agît donc depuis une trentaine d’année, de travailler à « mieux conscientiser » (au niveau de Moi, de l’Autre et de la Situation), et à mieux se maîtriser dans le cadre du Management et/ou de l’exercice du Leadership en entreprise, par moins de jugements stériles et plus de « flexibilité » au niveau des comportements, mais aussi par l’exercice du « lâcher prise » (en fonction de la prise en compte des valeurs boustant les motivations de l’autre et de celles nécessairement liées à la situation).
Aujourd’hui, la véritable question soulevée par les Neuro-sciences est d’arriver à mieux s’auto diriger en fonction du contexte, grâce à une conscientisation désirée quasi permananente. Cela nécessite d’être plus lucide au présent, sur soi-même et sur ce que nous percevons de l’autre et des situations.
La posture qui s’impose est celle de l’individu détaché de son EGO : celui-ci cherchant trop souvent à satisfaire des besoins (affirmation, exigences, fierté « mal placée », jugements simplistes) ou à éviter des peurs (issues de nos conditionnements).
« Quand l’ EGO domine…le MENTAL rumine ! » et il n’y a plus d’intelligence Neuro-Sensorielle. L’intellect devient roi, le contrôle est l’objectif et l’intuition se met en veilleuse. L’émotion est alors malvenue, car elle ne peut que déborder.
La Posture Intelligente préconisée par l’Académie de la Neuro-Sensorialité est celle nous rendant capable d’observer les méfaits de l’ego pour l’apprivoiser. Elle devrait nous permettre de gagner en sérénité, en lucidité et en empathie avec les autres.
Loin d’être un « long fleuve tranquille », la vie L’Intelligence Neuro-Sensorielle au secours de l’Intelligence émotionnelle
L’intelligence émotionnelle est un concept remontant à la deuxième moitié du siècle dernier.
Auparavant les émotions étaient moins prises en compte et seul le quotient intellectuel donnait une idée chiffrée sur l’intelligence d’une personne.
Pour clarifier (en rappel de ma précédente publication) : au moins 4 compétences sont indispensables pour développer notre intelligence émotionnelle :
– Identifier nos émotions du moment,
– Maîtriser les émotions que nous vivons,
– Reconnaître les émotions de nos interlocuteurs
– Interagir en considérant les deux sources d’émotions présentes.
Mais avec les progrès des Neuro sciences, l’intelligence émotionnelle et son évaluation par le quotient émotionnel ne suffissent plus pour conscientiser et s’entrainer à mieux interagir.
Déjà une meilleure détection et reconnaissance possible des comportements et des émotions fut et reste largement permise par des méthodes comportementalistes informatisées, basées sur le DISC de Marston enrichi ou non par les travaux de Carl Jung selon les méthodes (cf. pour ex : la formation certifiante Arc En Ciel DISC proposée au Maroc par Arc-en-Ciel RH Maghreb).
Il s’agît donc depuis une trentaine d’année, de travailler à mieux conscientiser (au niveau de Moi, de l’Autre et de la Situation), et à mieux se maîtriser dans le cadre du Management et/ou de l’exercice du Leadership en entreprise, par moins de jugements stériles et plus de « flexibilité » au niveau des comportements, mais aussi par l’exercice du « lâcher prise » (en fonction de la prise en compte des valeurs boustant les motivations de l’autre et de celles nécessairement liées à la situation).
Aujourd’hui, la véritable question soulevée par les Neuro-sciences est d’arriver à mieux s’auto diriger en fonction du contexte, grâce à une conscientisation désirée quasi permananente. Cela nécessite d’être plus lucide au présent, sur soi-même et sur ce que nous percevons de l’autre et des situations.
La posture qui s’impose est celle de l’individu détaché de son EGO : celui-ci cherchant trop souvent à satisfaire des besoins (affirmation, exigences, fierté « mal placée », jugements simplistes) ou à éviter des peurs (issues de nos conditionnements).
« Quand l’ EGO domine…le MENTAL rumine ! » et il n’y a plus d’intelligence Neuro-Sensorielle. L’intellect devient roi, le contrôle est l’objectif et l’intuition se met en veilleuse. L’émotion est alors malvenue, car elle ne peut que déborder.
La Posture Intelligente préconisée par l’Académie de la Neuro-Sensorialité est celle nous rendant capable d’observer les méfaits de l’ego pour l’apprivoiser. Elle devrait nous permettre de gagner en sérénité, en lucidité et en empathie avec les autres.
Loin d’être un long fleuve tranquille, la vie (intérieure et/ou extérieure) est donc plutôt un parcours semé d’obstacles à franchir…, et de zones de plaisirs à exploiter.
Pour nous adapter aux situations de ce parcours, nous avons besoin de nous investir, de mobiliser notre énergie, d’être lucide et confiant.
Ces quatre qualités vont nous rendre capable d’anticiper les difficultés, d’éluder les imprévus et d’acquérir l’agilité que procure une approche Neuro-Sensorielle.
Cette approche doit justement mettre en action notre intelligence neurosensorielle avec :
– Une meilleure conscience de soi (écouter notre corps) et maîtrise de soi (en restant connecté au langage «corps/esprit »),
– Plus de souplesse à appréhender les obstacles ayant laissé un vécu sensoriel, afin que les cogitations négatives et/ou stériles se taisent,
– Identification de notre intention vers une orientation d’ouverture et non de résistance,
– Augmentation de la confiance en soi par l’exercice de la responsabilité,
– Estime de soi, proportionnelle à la vraie connaissance de nous-mêmes.
Epilogue très personnel:
Vous trouverez peut-être cette approche « difficile à suivre » ? (au moins à première vue)
Je l’ai découverte passionnante en tant que scientifique ! (biologiste, pédagogue et formateur des professionnels du développement personnel)
Mon seul regret reste de constater (au travers de l’actualité et des pseudos réformes de l’Education nationale), que la plupart des étudiants en resteront « épargnés par défaut », au profit du développement d’une intelligence essentiellement cognitive (élitiste ou non ? selon le niveau d’exigences quantitatives des Professeurs et/ou des Directions d’Ecoles Supérieures publiques ou privées qui se prévalent toutes de la Qualité).
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