Winner or Looser ? That is the question!

 

Bien interpréter les situations,  faire des choix judicieux fonction de vos valeurs, conscientiser ses styles (naturel et adapté), décoder les comportements pour gérer  l’« invisible » et  prendre  les bonnes décisions…, autant d’étapes à ne pas négliger pour ne plus se tromper !

Aussi quelques pratiques d’« accompagnement » permettraient  d’adapter votre personnalité à votre situation personnelle, familiale ou professionnelle, afin de transformer des événements semblant malheureux en opportunités à saisir.

Décider du changement avant qu’il ne décide à votre place!

Mieux vaut s’adapter en faisant des choix, bien avant qu’il ne vous soit demandé de changer, qu’on vous l’impose ou qu’on décide de votre destinée!

Quand vous réussissez dans une entreprise, vous vous attribuez fièrement ce succès et vous avez raison. Votre honnêteté intellectuelle devrait en faire de-même quand cela va mal, en vous rendant responsable de ce qui vous arrive, tout en cherchant à vous armer pour mieux surmonter les prochaines difficultés.

Au-delà des compétences métiers qu’il est toujours temps de compléter par la formation professionnelle, encore faudrait-il aussi : mieux se connaitre sur le plan comportemental, avoir conscience de ses forces, limites et faiblesses (au sens de Carl JUNG) et travailler sa flexibilité interne pour mieux s’adapter aux situations.

Toujours assumer « le pire » comme « le meilleur », avec volontarisme

Tout au long de notre chemin de vie, on doit également accepter d’être le Responsable de ce qui nous arrive. Quand la situation ou nos résultats sont positifs on s’en attribut aisément le mérite. Il devrait donc en être de même lorsqu’ on échoue.

Ainsi dans notre parcours de vie personnelle comme dans notre carrière professionnelle, toutes nos expériences vécues, nos comportements renforcés, nos motivations passagères… ont contribué à nos choix; et réciproquement celles-ci ont consolidé notre « système de valeurs » à la manière d’un « boomerang ».

Certes donc, nous ne maîtrisons pas l’environnement dans lequel nous évoluons (politique, économico-social, familial et/ou culturel) ; mais de la même manière qu’au Bridge ou aux Tarots nous recevons une donne aléatoire…., avec les mêmes cartes nous pouvons perdre ou gagner.

A moins de rejeter systématiquement la faute sur le « système » nous avons donc l’entière responsabilité de réagir par rapport au contexte, afin de l’exploiter au mieux avec courage, clairvoyance, anticipation…. et surtout la partie frontale exercée de notre cerveau évolué (siège original  de la volonté raisonnée et donc des différences inter individuelles constatées en fin d’adolescence).

L’échec ne vient donc pas de vous mais de votre stratégie!

Le « looser » sait ce qu’il ne veut pas en baissant les bras par rapport à ce qui le motiverait. Il cherche souvent à excuser ensuite ses comportements par l’actualité socio-économique pleine d’incertitudes (créatrice d’angoisses), déversée par la plupart des médias culturellement ou traditionnellement « à gauche » car fortement  influencés (voire managés) par les taux d’écoute d’un public assisté ou qu’il ne faut pas trop bousculer.

Si le pessimisme (voyant le verre à moitié vide), est aisé (bien que mentalement perturbant), l’optimisme (le voyant à moitié plein) exige au contraire, courage et confiance en soi pour partir à la conquête de nouveaux objectifs en fonction des valeurs majeures qui guident sa vie (encore faut-il également les connaitre ?).

Par exemple : pour trouver un emploi, il faut se penser « sans emploi » (et non « au chômage »), afin de se poser la vraie question _« Comment faire pour ne plus l’être? »

Par contre, si en plus vous innovez avec motivation en vous demandant _ »comment décrocher une nouvelle activité qui cadre avec mes valeurs? », vous partez de vous pour vous projeter sur l’avenir au lieu de continuer à faire ce que vous avez toujours fait en « stratégie de survie ».

Changez donc de poste, d’activité, de démarche ou d’environnement autant de fois qu’ il le faudra, en respectant les valeurs qui vous motivent et en réduisant le trop plein de comportements adaptés pour renouer avec des « stratégies de réussite ».

A force de refus et/ou de défis surmontés, instructifs et très formateurs, on se rend compte que l’échec dépend de nos stratégies mais pas de nous-mêmes.

Enfin, si être à l’écoute de ses erreurs ou de ses limites intellectuelles est important pour répondre à la question _ »Quoi faire? »,  s’occuper du _ « Comment faudra-t-il se comporter dans le poste ou la mission? » et du _ »Pourquoi réussira-t-il? » en termes de motivations…sont deux pistes que seuls les moyens psycho techniques modernes permettent de baliser sans trop se tromper. Les recruteurs qui persistent à les ignorer limitent inconsciemment leur efficacité.

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